L'État et la Famille d'accueil, leur espritualité (Pub. - 5)


L'État et la Famille d'accueil, leur espritualité (Pub. - 5)

Une société, sans trop abonder, est formée de plusieurs groupes sociaux dont les relations sont déterminées et régies par des institutions, des lois, des règles, etc. Et c'est à l'État, comme l'une de ses institutions, que reviennent les fonctions d'allocation des ressources, de distribution et de régulation. L'État assure donc le droit de vivre ensemble du corps social et définit l'organisation de ses différentes branches à travers une Constitution.

Le droit de vivre ensemble !

Le droit de vivre ensemble sous - entend le respect des devoirs par chacun des membres vivant sur un territoire, constituant une nation, régis par des instititions étatiques. D'où le rapport étroit entre l'État et les familles d'accueil qui constituent les noyaux et les membres de cette nation. Si la famille devait être la première des institutions d'accueil des anges qui s'incarnent dans une société, l'État serait l'instance intermédiaire régulatrice et correctionnelle des âmes formant cette entité sacrée  qu'est la famille d'accueil ; cette dernière et l'État sont donnés une mission terrestre spéciale, car si la composante de la famille est dénaturée et corrompue, toutes les responsabilités retombent sur l'État dont les dirigeants définissent l'égrégore nationnal positif ou négatif.

Devant Dieu, L'État et les familles d'accueil (Fa) ont la mission commune de conduire les incarnés dans sa bergerie, et cela par la sainte pratique de la vie que seuls les dix (10) GPU peut occasioner. Vivre ensemble, c'est respecter ces dix (10) GPU qui révèlent les relations verticale, entre Dieu et l'homme, et horizontale, entre les composantes d'une Fa ou des Fa qui forment la société.

Aucune société n'existe sans un égrégore national, et la manière dont les membres de cette société pratiquent et vivent leur vie constitue leur spiritualité qui nourrit du bien ou du mal l'Âme de cette nation. Autrement dit, tout peuple connait une forme de spiritualité, et c'est à son État de saisir sa mission et son idéal terrestre, et de les orienter vers ce qui est bien que les dix (10) GPU définissent et caractérisent. Rien n'est bien, si ce n'est ce que le Grand Créateur dit être bien.

La pratique du bien est ce qu'Haiti conceptualise en Espritualisme, puisque c'est l'esprit incarné ou l'âme qui font le bien ou le mal, au travers de ses actions et paroles ; le corps ou l'enveloppe corporelle n'y sont pour rien. Le corps et l'âme forment l'homme ou la femme, et ce sont eux qui composent les Fa et l'État. D'où leur espritualité.

L'État décrit la qualité de ses citoyennes et citoyens, à savoir les membres des Fa, composants de la société, et ce qu'il entend et attend par l'adaptation (l'éducation) de ces derniers pour promouvoir le développement social, au travers d'un Égregore national positif et bénéfique pour tous. Parlant d'Égrégore nationnal positif renvoie à des pratiques esprituelles exprimant du respect littéral pour le Décalogue. Et c'est ici le rôle de l'État d'instituer la gaucratie, modèle politique universel qui implique la pratique quotidienne de la vie, selon la volonté du Grand Architecte de l'Univers (GAU)...

L'État royal gaucratique haitien respectera son idéal terrestre, exigera que les sujets du royaume soient et restent sensés et conscients, et qu'ils pratiquent l'Espritualité pour nourrir l'Âme nationale de bonnes énergies. Il mettra donc fin à toutes pratiques ésotériques, maléfiques, sorcières, religieuses, ect.

Une famille d'accueil sainte, un État sensé et conscient !

Evintz BRILLANT (0321112023)

Haïti : Lumière des nations
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