‘Nanm’, liberté de suivre le berger qui la nourrit (21e pub)

Toute âme est libre, et c'est cette liberté qui laisse voir sa bonté ou sa méchanceté, sa raison ou sa déraison, quoique ses actions soient controlées, et cela pour le bien des prophéties bibliques.

Voici ce que dit l'une des brebis d'Aristote ; cette assertion ne peut être comprise que du point de vue clanique, de bergerie... Hélas !

Aristote, l'homme pouvant tout expliquer, d'après J.-F. REVEL.

Pourtant, Aristote a raté de s'expliquer, de bien se connaître lui - même !

Pour Aristote : << L'homme ne sera vraiment heureux que par l'intellection, c'est - à - dire par l'acte de penser.

                La pensée est pourtant l'une des fonctions spirituelles de l'âme ; éduquée ou non, l'ho(fe)mme pense. Comment une telle faculté peut - elle rendre l'ho(fe)mme heureux ?

Le vrai bonheur de l'humanité dépend de sa prise de conscience de son existence spirituelle. L'homme et la femme sont spirituels avant d'être naturels ; leur réel bonheur devient donc la conséquence de leur nette conscience dans une enveloppe corporelle. À ce niveau, ils se rendront comptent de leur être véritable, et s'adonneront jour et nuit à le maintenir allumé, quant à la pensée non corrompue, à l'action et à la parole non dérogatoires aux 10 grands principles universels, mors de l'humanité.

Réduire le bonheur de l'ho(fe)mme, de l'humanité à la pensée est une réflexion philosophique ridicule, car le corps ne peut être ni heureux ni malheureux, c'est l'âme qui expérimente le bonheur ou le malheur. Or, cette entité spirituelle ne trouve de bonheur dans rien qui soit rationnel. Riche ou pauvre, l'âme sera heureuse si d'abord elle aura consommé son unique aliment spirituel ; la richesse ou la pauvreté lui constituent l'épreuve pour atteindre son idéal terrestre.

Que d'âmes sont restées à l'état animal pour avoir été séduite, contaminée de thèses ou d'antithèses des athées ; elles ne sont jamais arrivées au stade mature de leur adaptation, donc avalent de la connaissance scientifique, mais ne les digèrent pas vraiment. Ainsi dit, elles deviennent des âmes animales pour qui le frein ou le mors de l'humanité ne leur représentent rien.

Sinon, comment une âme, se disant savante, peut - elle poser une telle question ridicule : << Que sont les preuves de l'existence de l'âme ? >>

Une telle interrogation prouve au contraire combien cette âme - là est déchue au point de se nier dans une enveloppe corporelle, son aspect décoratif. Sincèrement, la peine de constater les dégats de la fausse théorie d'Évolution de Darwin est indicible, et sur ce, nous demandons à Dieu de le placer en plein cœur de l'Enfer pour payer de ses thèses ridicules et sataniques.

À chacun, son berger, à chaque nanm son guide spirituel, ou à chaque scientifique son berger - philosophe !

Ô âmes animales, saisissez - vous et revenez donc à la raison pour le bien de l'humanité !

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